Lucile Haute

Lucile Haute

Coréalisation : Alphabetville, la Marelle, la Friche la Belle de Mai, Montevideo

Les micro-résidences d’Alphabetville sont des résidences de courte durée proposées à des auteurs, chercheurs ou artistes, invités à développer leur pratique sur le territoire, à découvrir ses réalités, à y partager des temps publics…

Depuis quelques années, les activités d’Alphabetville et de la Marelle croisent celles de Lucile Olympe Haute.

Lucile Haute a une activité de recherche et de création. Elle enseigne, elle écrit, elle performe, elle code, elle édite… La technologie numérique est au croisement de ses pratiques. La théorie et la critique, la fiction et l’imaginaire, sont au croisement de son écriture. Présence et absence, survivance et actualisation, composent des situations singulières et génèrent des dispositifs inédits, toujours investis et incarnés.
« J’ai vu la sorcière » est la création au long cours qui vient faire étape vers une édition hybride, restitution de médiations variées, de performances et de films, composée de matériaux iconographiques, de mises en mots et en récit.

Dû au confinement une partie de la résidence a eu lieu hors-les-murs du 5 au 11 novembre, et se poursuivra à Marseille en janvier 2021.

Documents et ressources :
« La première chose que je peux vous dire… », une proposition de la Marelle
. programme radiophonique
Entretien avec Lucile Olympe Haute par Pascal Jourdana sur Radio Grenouille 88.8 FM ou www.radiogrenouille.com
Podcast : http://www.radiogrenouille.com/la-premiere-chose-que-je-peux-vous-dire/ ou https://podcast.ausha.co/la-premiere-chose-que-je-peux-vous-dire-radio-grenouille
. revue papier et numérique
La revue « La première chose que je peux vous dire » publie le texte inédit de Lucile Olympe Haute : Emprunts de sorcière.
Pour lire la revue numérique sur le site de La Marelle